En général tout commence par sortir d’une boucle autobloquante, destructrice.

Retrouver le souffle, ses facultés intelligentes, son présent : sortir d’une forme de survie ou de panique.

Remettre en place les bases d’une énergie d’autoguérison, retrouver des capacités à métaboliser.

Les symptômes, comme les ressources, peuvent se trouver dans les diverses dimensions de l’humain,

ce qui donne une très large gamme d’outils :

- Le plan tissulaire bien concret, avec des massages et de l’acupressure principalement.

- Le flux vital, avec le magnétisme ou le travail des méridiens

- Il est habituel que des charges émotionnelles ou affectives se soient mises en place, soit comme cause soit comme conséquence.
La parole peut aussi être une aide précieuse…

- Plus subtil souvent, mais parfois fondamental, détricoter les chocs traumatiques du passé et les empreintes héritées. Entre prise de conscience,
libération émotionnelle, et techniques énergétiques.

La méthode s’est développée en accompagnant des cas de douleurs chroniques. Plein de cas divers et variés.

La liste serait longue, du plus physique (ex : sciatique, migraines) au plus émotionnel (ex : blocage de deuil, remontée en surface de traumas),

en passant par les troubles du système nerveux (ex : fibromyalgie, certains cas de sclérose), aussi des situations plus psychiques ( ex : burn out, certaines addictions).

De permettre à quelqu’un de se remettre centré et aligné, dans une dimension qui stimule les flux d’énergie d’autoguérison, cela permet
des évolutions fortes, de sortir d’auto blocages.

Le pouvoir de changer reste entièrement la capacité du patient, il s’agit de l’aider à le mettre en œuvre, efficacement.
Idéalement de transformer une structure, ce qui change drastiquement les effets secondaires : les symptômes.

Changer demande de l’énergie. Il s’agit tout autant d’un travail sur les ressources. Vouloir métaboliser un problème, sans avoir les
ressources nécessaires, ce serait se mettre en risque d’échec…

Il y a bien entendu aussi des limites ! Une telle technique ne peut pas faire repousser du cartilage en cas d’arthrose, ou
soigner un cancer métastasé en phase avancé, ni transmuter une personne bipolaire (qui restera avec une structure bipolaire).

Le patient se vit dans son quotidien, c’est là que les choses se passent, au fil des heures. De lui donner des outils pour être indépendant
est fondamental pour que « ça tienne » dans la durée.

Nous fonctionnons uniquement sur rendez-vous.

Les séances ont une durée plutôt longue, il est courant de déjà mettre une heure pour être dans un état enfin favorable, pour commencer ensuite
le profond travail de métaboliser... Mais ça peut être vraiment variable.

Le rythme habituel est souvent d'une fois par mois, à part dans les temps de crises où les rendez-vous peuvent etre plus rapprochés.

Le nombre de séance nécessaire est très variable, selon la sévérité des atteintes, les ressources vivantes du consultant et jusqu'où il
souhaite aller dans sa démarche.

Le coût se discute avec l'accompagnant.